On sait que :
R(X)=Q(X)P(X)⟺k=1∑nX−akAk=Q(X)P(X)⟺P(X)=Q(X)k=1∑nX−akAkCe qui peut encore s'écrire comme :
P(X)=k=1∑nQ(X)X−akAk⟺P(X)=k=1∑ni=1∏n(X−ai)X−akAkDonc, en simplifiant par le terme non nul
X−ak, on trouve que :
P(X)=k=1∑ni(=k)=1∏n(X−ai)Ak⟺P(X)=k=1∑nAki(=k)=1∏n(X−ai)Dans cette expression, le terme
i(=k)=1∏n(X−ai) représente un polynôme de degré
n−1 qui à la forme suivante (début et fin) :
i(=k)=1∏n(X−ai)=Xn−1+⋯+(−1)n−1i(=k)=1∏naiCe qui implique que :
Aki(=k)=1∏n(X−ai)=AkXn−1+⋯+Ak(−1)n−1i(=k)=1∏naiOn en déduit alors que le polynôme
P à la "\textit{structure}" suivante :
P(X)=(k=1∑nAk)Xn−1+⋯+(−1)n−1k=1∑nAki(=k)=1∏naiOr, le sujet nous indique que
P est un polynôme de "degré
n−2 au plus, ce qui implique que le coefficient devant
Xn−1 est automatiquement nul. Ce qui nous permet d'écrire que :
k=1∑nAk=0C'est à dire que l'on a bien :
k=1∑ni(=k)=1∏n(ak−ai)P(ak)=0